Les bases de la géobiologie
- Renaud Servotte
- 1 juin 2015
- 3 min de lecture
Comment trouver une source ? Qu'est ce qu'un réseau tellurique ?
Ces phénomènes ont-il des effets sur nous ?
Je vais ici tenter de faire un condensé très succinct et simple des mesures les plus classiques de géobiologie.
Tout d'abord, il faut savoir que le premier outil de mesure du géobiologue est son corps, voire même ses différents corps (physique, énergétique, émotionnel, mental).
Certains instruments permettent de faciliter les recherches comme les baguettes de sourcier, le pendule, l'antenne de lecher et bien d'autres mais ils ne sont pas indispensables.
Sur cette première photo vous pouvez voir que j'ai tout d'abord tracé les sources souteraines, identifié le sens d'écoulement et la profondeur. En géobiologie il est important de résonner avec des dimensions multiples. Ici les sources ont des profondeurs et des débits différents. L'effet d'une source souterraine sur l'organisme dépend de plusieurs facteurs. Elles ne sont pas forcément néfastes.

Ensuite j'ai recherché les trames du réseau Hartmann qui est le plus connu. Le réseau Hartmann est lié au nickel présent dans le sol terrestre. Les réseaux géobiologiques sont agencés sous forme de grilles constituées de murs énergétiques, de différentes épaisseurs selon les réseaux. La plupart des réseaux sont liés à un minerai et sont polarisés alternativement positifs et négatifs. Ils sont orientés nord/sud et est/ouest ou nord-est/sud-ouest et nord-ouest/sud-est. Le réseau Hartmann est orienté nord/sud et est/ouest.
Sur ce site il y a une particularité. Le réseau Hartmann (en jaune) se dédouble régulièrement. Cela est dû aux grandes quantités de minerais dans le sous sol. Nous sommes ici sur une ancienne mine. Comme vous pouvez le voir, il y a une trame tous les deux mètres. Ce réseau se retrouve donc dans toutes les habitations. De nouveau la présence de réseaux n'est pas forcément nuisible.

Ensuite on recherche les failles géologiques. Un effet de faille peut provenir d'un fond rocheux irrégulier, d'une roche fracturée ou de vielles constructions souterraines. A nouveau, les effets de failles sont variables, elles sont toutes négatives mais à des niveaux différents.

Comme pour les sources souterraines, les failles peuvent se superposer. Les failles sont dessinées en mauve et en vert clair,

Comme vous pouvez le voir cela devient confus. Toute la zone est parcourue de phénomènes géobiologiques. Et encore, ici je n'ai tracé que trois phénomènes différents.
On peut deviner d'anciennes constructions et même peut être un puits.

Ensuite on peut deviner quelles sont les zones les plus nocives pour le corps humain. Ces zones se trouvent généralement sur le point de superposition des différents phénomènes. Afin de les quantifier, je pars d'une zone neutre calibrée à 100%. Les zones en dessous de 100% sont qualifiées de négatives et celles au dessus de positives. Afin d'estimer ce pourcentage, j'utilise mon champ vital (corps énergétique).

Les zones en dessous de 75% sont problématiques dans une habitation. Ci-dessous vous pouvez voir une petite zone à 50%. Elle se trouve en même temps sur un réseau Hartmann négatif, une faille et une source. C'est l'effet cumulé qui provoque ce problème. C'est clairement un endroit inadéquat pour placer son lit ou son espace de travail. Par contre un mètre plus loin l'énergie est bien meilleure.

Rassurez-vous, je ne trace pas de telles lignes dans les maisons. D'ailleurs je ne travaille pas comme cela. Cet exemple est un exercice de style. Cela prendrait trop de temps à faire et il y a bien d'autres phénomènes à prendre en considération. J'effectue d'abord mes relevés énergétiques et si ceux-ci sont vraiment négatifs alors seulement j'essaie d'en trouver les raisons.
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